Résumé de votre situation de soumis :

Votre femme a découvert vos secrets et fantasmes dans votre ordinateur. Elle a copié la totalité de vos dossiers secrets sur un disque dur. Ultra dominante dans la vie de par son métier et sa nature, elle vous a dominé et mis sous cage de chasteté. Se découvrant dans le BDSM qu’elle refusait, elle apprécie finalement de plus en plus de vous dominer et vous humilier l’excite énormément. Souvent féminisé et à son service vous ne pouvez que subir, sa meilleure amie étant votre patronne, vous pourriez perdre votre femme, votre maison et votre emploi si vous la quittez. ........................

Cela fait maintenant cinq jours que vous êtes sous cage de chasteté, cinq jours que tous les soir, elle joue avec vous. Au fur et à mesure, elle se découvre et prend de plus à plus de plaisir dans cette situation que vous aviez espéré dans vos fantasmes. Le problème est qu’elle va de plus en plus loin et semble sans limite. Votre avenir s’annonce difficile et compliqué car être soumis un soir pour le jeu et le devenir en 24/24 n’est pas du tout la même chose ni dans vos fantasmes !

Depuis lundi, cette fameuse soirée pendant laquelle vous n’avez pas eu d’autre choix que de tout lui avouer, vous avez déjà pris une sérieuse fessée, vous êtes devenu sa bonne à tout faire. Obligé de vous travestir, vous entrez dans votre nouvelle condition de vie chaque soir en devenant sa soubrette docile.

VENDREDI 11 HEURES

Elle vous annonce par texto que votre patronne est d’accord pour que vous quittiez votre travail à midi. Vous avez ordre de faire les courses et de prévoir un dîner pour trois puis de faire le ménage à fond. Votre coeur se serre, à la lecture de ce message, sa meilleure amie étant votre patronne, vous vous demandez avec inquiétude si elle est au courant ? La colère vous mine, vous ragez mais exécutez les consignes. Mille questions traversent votre esprit pendant que vous passez l’aspirateur.

VENDREDI 18 HEURES

Andréa arrive épuisée, furieuse et dans un état ne rimant pas avec son élégance habituelle. Elle jette un carton sur la table du salon et vous ordonne de lui faire couler un bain puis de l’attendre à la salle de bain. Elle vous rejoint dix minutes plus tard avec des vêtements propres. Elle se dévêtit puis entre dans le bain puis vous demande de lui laver les cheveux. Vos cinq jours de chasteté se rappellent à vous lorsque vous entreprenez de faire couler l’eau sur sa tête et la shampouinez.

• J’ai bien failli castrer le plâtrier et le plombier. Il a fallu que je les aide avant que l’architecte passe, sans quoi, c’était un truc à ne pas décrocher la rénovation d’un immeuble de six étages. Pourquoi les mecs ne savent pas respecter les délais et leurs engagements ? Quand je lui ai jeté son sac de plâtre dans les bras pour aller plus vite, cet abrutis a bien failli s’écrouler. Le plombier voulait partir en week-end sans avoir fini. Tu aurais vu sa tête quand je me suis énervée, il s’est plaqué contre le mur et protégé le visage. Un demi portion ce mec, si je ne m’étais pas retenue je lui aurai mis la tête dans les chiottes qu’il ne voulait pas finir. Finalement quand l’archi est passé, à 17h30, il nous a félicités et j’ai décroché la rénovation de l’immeuble. As-tu fait le ménage et le repas comme demandé ?

• Oui chéri ! Tout est prêt, il n’y aura plus qu’à réchauffer. Qui est notre invité ?

• Annie.

Vos doigts s’arrêtent soudain un instant de masser son cuir chevelu. Vous présentez que la soirée sera dure mais espérez qu’elle ne dira rien. Sa tête lavée et sa douche terminée, elle vous demande de l’essuyer puis, tout en enfilant son tailleur vous ordonne de profiter de son bain sans y passer deux heures car vous sentez la transpiration.

VENDREDI 19 HEURES

La sonnette tinte, Andréa vous ordonne d’aller ouvrir. C’est bien vrai et ce que vous craigniez, elle a invitée votre patronne à dîner. Après l’avoir soulagée de son sac puis d’un gâteau à mettre au frais, elle rejoint votre femme au salon. Les embrassades sont copieuses et bruyantes comme si elles ne s’étaient pas vues depuis dix ans. A votre arrivée avec une bouteille de champagne Pommery Springtime, en sentant leur complicité et le regard amusé de votre patronne, votre gorge se serre. L’espoir qu’elle ne sache pas se réduit à une peau de chagrin.

• Chéri, après le service, tu attraperas le colis que j’ai laissé sur la table, ce sont des cadeaux pour toi.

Des cadeaux ? Pourquoi vous fait-elle des cadeaux ? Ce n’est pas votre anniversaire ! Vous apportez donc le colis et vous assaillez dans un fauteuil.

• Allez, ouvre-le !

Vos doigts tremblent, vous devez même vous lever pour aller chercher un couteau pour couper le gros scotch. Après avoir enfin ouvert le couvercle vous soulevez le papier bulle. Votre coeur s’arrête de battre, votre gorge se noue à la vue du contenu du colis.

• Allez, sort tout, c’est tout pour toi mon chéri.

Vous ne parvenez pas à aller plus loin, à faire ce qui est demandé. Vous ne vouliez pas que cela se sache et encore moins que votre patronne en soit informée. Comme vous tardez trop, votre femme se penche soudain et attrape le colis qu’elle vide sur la table basse. Un gode ceinture heurte votre coupe de champagne, deux autres sacs noirs avec les mots « chastity devices » vous sautent aux yeux. Vous ne savez que dire, que faire, le sol semble se dérober sous vos pieds.

• Dans tes dossiers secrets, j’ai découvert que tu avais demandé des informations à la boutique ABCplaisir. J’ai lu leurs réponses et deux de tes histoires érotiques, bien écrites d’ailleurs. Alors j’ai voulu te faire plaisir. Ouvre les pochettes !

Résigné, vous ouvrez celle qui est devant vous. C’est une cage de chasteté en métal, le modèle tout petit, si petit que vous vous demandiez si vous pourriez la mettre.

• Ouahou ! C’est joli mais ça rentre la dedans ?

• ABCplaisir m’a dit que oui. On va essayer, vient que je te retire ta cage.

Et là, vous perdez pieds. La suppliez de ne pas faire ça devant elle.

• « Elle » s’appelle Madame Ducreux, je te prie de parler de moi correctement. Allez ne fait pas le timide, je sais tout ! Vous coupe votre patronne.

La m o r t dans l’âme, vous ouvrez votre pantalon et vous approchez de votre femme. Elle se penche vers votre culotte qu’elle baise puis se sert de la clé qu’elle portait autour du cou pour ouvrir le cadenas de votre cage. Le pantalon et la culotte à vos pieds devant votre patronne en train de retirer votre cage de chasteté pour en mettre une autre, vous ne pouviez pas être plus humilié. Les commentaires vont bon train pendant que vous vous bagarrez avec cette putain de cage qui comprime votre sexe tant elle est courte.

• C’est joli, franchement elle est magnifique. Qu’y a t-il dans l’autre paquet ? Demande votre patronne.

• Un truc pour qu’il ne se branle pas le cul le lundi quand je ne suis pas là ! Répond votre femme. Allez ouvre-le !

Abasourdi par ce que vous venez d’entendre, vous ouvrez le second paquet. C’est un plug de chasteté anale qui s’ouvre à l’intérieur des fesses et sur lequel il y a un cadenas.

• On dit « merci » à sa Maîtresse !

Vous répondez à sa demande, votre merci n’est que de principe, si vous n’étiez pas piégé, vous lui diriez bien autre chose, mais ne le pouvez pas.

• Va mettre ta tenue de soubrette et prépare la table, nous allons dîner !

Cet ordre achève le dernier pan de votre pudeur. Vous avez envie de pleurer tant vous êtes affecté par ce qu’il vous arrive. Tel un bagnard devant se rendre sur son lieu de travail, vous prenez la direction de votre chambre en regrettant vos achats, vos fantasmes fous et vos délires qui vous conduisent aujourd’hui à être vraiment un soumis travesti encagé, pire même à être l’esclave de votre femme. Vous enfilez la tenue demandée sans rien oublier y compris les escarpins, prendre une fessée devant votre patronne serait trop humiliant. Passer par le salon dans cette tenue vous parait insurmontable. Elle vous a vu, son commentaire cruel vous broie le coeur : « Elle est mignonne comme ça ». Annie parle de vous au féminin, pourvu que cela ne lui échappe pas au bureau, pensez-vous immédiatement.

Le repas se déroule normalement hormis que vous assurez le service en tenue de soubrette. Vous avez hâte qu’il se termine, qu’elle parte, de dormir pour oublier. Vous vous isolez dans la cuisine sous prétexte de faire la vaisselle, en passant vous prenez une rasade de cognac, cela réchauffe votre coeur malade. Profitant d’être seul, vous regardez puis jouez un peu avec votre nouvelle cage de chasteté. C’est vrai qu’elle est belle pensez-vous soudain en vous touchant. Sans savoir pourquoi et sans raisons, vos mains massent votre poitrine, vos doigts titillent vos tétons, une sourde excitation monte en vous. Vous comprenez soudain pourquoi certains internautes disent qu’ils deviennent fous dans leur cage de chasteté et se sentent « femelle en manque ». La voix de votre femme vous coupe dans vos réflexions, votre invitée s’en va, vous devez lui passer ses effets personnels et lui dire « au revoir ».

• Au revoir petit soumis, et surtout sois sage ce week-end en pensant que c’est moi qui garde la clé de ta cage.

Le sol semble se dérober sous vos pieds. Que votre patronne connaisse vos travers est une chose, qu’elle garde la clé de votre cage de chasteté une autre qui ne vous annonce rien de bon.

• J’ai trop envie de toi mon chéri, viens vite d’occuper de ta Maîtresse. Vous dit votre femme en s’allongeant dans le canapé.

Nue sous sa robe qu’elle n’a qu’à soulever pour exposer son intimité, elle écarte les jambes sans aucune pudeur en vous désignant son chaton d’un doigt. Vous vous mettez à genoux à ses pieds pour laper son sexe dont vous commencez à rêver la nuit. Son abricot est trempé de désir, vous aimez son goût sucré et fondez comme neige au soleil en le dégustant. Votre langue s’emballe sur sa perle clitoridienne, entendre sa propriétaire « ronronner » vous comble de bonheur quand soudain, elle vous demande d’aller chercher le gode ceinture. Vous arrêtez donc votre mission linguale pour attraper le strapon de bonne taille en pensant que vous allez y passer. Il n’en est rien, elle vous demande de le mettre pour lui donner du plaisir.

• Et oui chéri, je commence à être en manque de virilité. Tu vas baiser ta Maîtresse par procuration pour la satisfaire.

La queue entre les jambes décalée sur le côté pour ne pas écraser vos testicules, vous ajustez le gode ceinture et vous mettez à genoux entre ses cuisses grandes ouvertes. Le gland de caoutchouc s’insinue sans problème en son chaton, elle se met aussitôt à ahaner et criant que c’est bon.

• Masse-moi les seins en même temps, bouge bien, défonce-moi, j’ai envie de sexe hard.

Vous vous exécutez, vous ne la regardez pas dans les yeux mais dans la chatte, cette chatte dont vous rêvez à présent. Votre verge compressée dans son micro tube à barreaux tire vos testicules tant vous êtes excité. Votre femme se caresse en même temps, crie que c’est trop bon, vous devenez fou de désir. Soudain elle vous repousse, vous demande de vous allonger par terre. Elle enjambe votre visage, s’assoie dessus pour se faire lécher le minou. En même temps elle caresse son clitoris semblant être affectés par la maladie de Parkinson.

Elle ripe sur votre visage, vous offre maintenant son anus à lécher pendant que d’une main elle joue avec son puits des plaisir, de l’autre traumatise son clitoris. Pris dans la tourmente, vous lui « bouffez le cul » sans même réfléchir à ce que vous faites. Votre langue en devient même avide tant vous êtes excité. Soudain elle semble imploser et crie. Ses fesses écrasent maintenant votre visage, par chance votre nez glisse dans son délicieux pertuis, vous pouvez respirer pendant qu’elle savoure, tout comme votre langue, les délicieuses contractions d’une jouissance démentielle.

Ecrivaillon

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